24 septembre 2006
Geisha
Dans ma frénésie de lecture de cet été, j’ai dévoré Geisha.
Le simple fait que j’utilise le verbe dévorer à la place du verbe lire vous a déjà fait comprendre que je l’ai adoré.
Ce roman est présenté comme une autobiographie, mais ce n’est qu’une fiction (évidemment basé sur certaines réalités) qui dévoile l’univers mystérieux de la vie quotidienne d’une okiya (maison où vivent une ou plusieurs Geishas, ainsi que les apprenties et les servantes), dans les années trente puis dans l’après guerre Japonais. On se rend compte de la difficulté de devenir une Geisha (surtout lorsqu’on ne l’a pas choisi) et surtout du statut privilégié qu’elles possédaient.
En conclusion je dirais juste : à lire
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